
Vendredi 26 novembre, 21h
Marie-Cécile Hanin : chant, clavier, basse, looper
Pasqua Pancrazi : machines, synthétiseurs
Le MÀ désigne différentes variations subjectives du vide.
Il est intervalle, espace, durée ou distance.
Non pas celle qui sépare,
mais celle qui unit, maintient l’équilibre et créé l’harmonie.
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Au début il y aurait le silence.
Et puis il y aurait les voix.
Des voix qui s‘enchevêtrent, se répondent,
s’apprivoisent jusqu’à s’amouracher, sans pour autant se confondre.
Puis viendrait la musique, en corps sensible, crépusculaire.
Tantôt organique, tantôt synthétique.
Pulsée toujours.
Se faire flow, flux, fluide,
pour porter les mots vers cette rive fragile qui loge en toi.
Oui mais parfois ces mots là seraient inconnus.
Ne serait-ce pas alors le moment de laisser parler le corps et de danser?
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Exprimer son ressenti, flexible, mais sans renoncement,
Sentir sa puissance se déployer, sans jamais entraver l’espace de l’autre,
C’est ici que se situe MÀ.
Entre pop sensible, new wave & électronica.