Vendredi 8 décembre, 21h
En partenariat avec le RéZo
Jules Henriel : Chant, guitare
Marine Sahakian : Basse
Nicolas Fossoy : Guitare
Oliver Jenkins : Batterie
Production : LA MESÒN
Le RéZo est heureux d’accueillir Parade vendredi 8 décembre, à l’Aghja, et samedi 9 décembre, à l’Alb’Oru, en partenariat avec Bastia Cultura.
Cadeau de Noël : pour Parade, 1 place achetée = 1 place offerte
Le quatuor rock français Parade se décrit comme une entité brute que tout le monde est libre de rejoindre.
Influencé par le post-punk, le noise pop, le folk et le rock psychédélique, des guitares directes tout en avant et une voix sépulcrale imprégnée du fantôme d’Ian Curtis… PARADE, c’est un son brut et énergique qui prône le retour d’une musique rock directement connectée à nos vies, nos angoisses, nos espoirs, nos dérapages incontrôlés, coups de mou et passions survoltées.
Formé à Marseille en 2019, PARADE sort son premier EP en 2020 chez Lollipop Records, durant les temps post-apocalyptiques du covid. Elzo Durt (La Femme, Thee Oh Sees, King Gizzard & The Lizzard Wizard) crée l’artwork de ce premier disque. Une époque marquée par l’impossibilité de monter sur scène que les membres de PARADE ont utilisée pour travailler leur son. Un effort récompensé par leur sélection au prestigieux Inouïs du Printemps de Bourges en 2020 et leur programmation au MaMa Festival, à la Machine du Moulin Rouge à Paris, en 2021.
Un premier EP, coup de cœur de Radio France, bénéficie d’un accueil enthousiaste de la presse nationale spécialisée, avec des relais par Rock’n’Folk, Les Inrocks, Rolling Stone Magazine, des passages sur France 3 ainsi qu’une multitude de blogs musicaux et d’émissions radios.
Trois ans plus tard, en 2023, PARADE sort un nouveau disque intitulé « It All Went Bad Somehow » (Lollipop Records / L’Autre Distribution). C’est l’artiste français Julien Langendorff (Thurston Moore, L.A. Witch…) qui crée l’artwork de ce nouvel opus.
« Leur rage reste palpable, mais s’exprime à travers des mélodies fortes, des paroles habitées, un son distingué (…). PARADE, ne serait-ce pas le post-punk de The Only Ones et Psychedelic Furs projeté dans les temps futurs ? D’autres auditeurs, moins croulants mais plus très frais non plus, avancent une autre interprétation : voilà l’indie-rock de The Strokes et Interpol ressuscité, sans le côté restaurateur hipster – dans une version urgente, post-apocalypse, poétique et brûlante. » Benoît Sabatier
« Guitares électriques branchées sur du 220 volts, voix caverneuse, batterie énergique, le son de PARADE rappelle autant le rock garage des Strokes que la langueur noire de Joy Division. Une pop décapante. » Franceinfo Culture
« La guitare sature légèrement, entre batterie claquante et basse en place, la rythmique est simple et solide. Vient se poser par-dessus la voix grave et indolente du chant, qui finit de créer cette ambiance aussi punk que lounge, pas neuve mais bien maîtrisée. Il y a quelque chose d’Iggy Pop et de The cure dans leur style résolument rock, rétro et minimaliste. Les textes font des clins d’œil à Lou Reed et la pochette psychédélique est à la fois moderne et toujours bien campée dans cet univers déjanté du rock des années 1970. » Extended Player
